Arrivé au RC Lens en 2021 pour chapeauter la communication et le marketing, Benjamin Parrot a vu son rôle évoluer au fil des années pour devenir directeur général adjoint l’an dernier tout en étant membre du comité de direction et donc se voir demander par Joseph Oughourlian ces dernières semaines de prendre la relève de Pierre Dreossi en tant que directeur général.
Un rôle dans la continuité de celui qu’il occupait auparavant, qu’il aborde avec confiance mais également une part de doute qui lui semble indispensable pour réussir. Il explique : « L’annonce a été soudaine. J’étais directeur général délégué. On enlève le côté délégué. Ce qui me donne une vue encore plus générale sur ce que je faisais. Jean-Louis (Leca, nommé directeur sportif), comme moi, on nous a donné cette mission. Et donc, on n’a pas eu à l’accepter. On nous a dit, vous prenez ces responsabilités-là. Le premier élément, c’est de prendre le poids de la responsabilité et d’être animé par le doute, qui pour moi peut représenter un puissant moteur. Je pense que la confiance est nécessaire, mais le doute est indispensable. Si on ne doute pas, si on ne pense pas au poids de la responsabilité, si on ne se dit pas que ce club est un top club qui mérite de continuer à se développer, alors c’est qu’on ne prend pas la mesure de ce poste-là. Donc ça a été ça, pour moi, les premiers éléments, la première réflexion qui m’a parcouru. »
«J’ai été assez aidé dans le fait d’avoir écrit la stratégie du club »

Le nouveau directeur général peut maintenant s’appuyer sur sa connaissance des besoins du club, ayant déjà oeuvré sur le modèle à mettre en place avant sa nomination : « J’ai une certaine connaissance des dossiers et j’ai été assez aidé dans le fait d’avoir écrit la stratégie du club sur les quatre piliers, identité, stratégie sportive, développement économique et identité, et infrastructure. Il s’agit maintenant d’apposer une patte avec une vision club au sens large. Un club, ce n’est pas seulement une équipe première. Je suis très sensible à la trace que l’on laisse, et la trace, elle est aussi infrastructurelle, elle prend différentes dimensions, et cela se fait en ayant la confiance acquise à travers la gestion des précédents dossiers, mais aussi le doute nécessaire par rapport au poids de la responsabilité que rencontre cette fonction. »
Benjamin !!!! Le doute de quoi??? Tes prédécesseurs étaient t’ils meilleurs que toi?? D’après JO tu es l’homme de la situation. Donc ne doute pas. Fonce!!!
Heureusement qu’il doute. Ça prouve une grande intelligence et une grande mesure inhérente à son poste. L’imbécile fonce souvent lui.
C’est sûr que tu n’es pas foncer jean-guy62. Un escargot où une tortue reste souvent à quai. 😝😝😝
Aujourd’hui ce sont les opportunistes qui gagnent et pas des gens qui dorment 😘😘
Bonjour amis supporters lensois, de biens belles paroles, un beau discours , maintenant place aux actes en conformité de ce qui vient d’être dit. J’ai relu et je ne trouve rien de concret. Il parle de doute, de responsabilité , une trace infrastructuelle, allez M; Parrot , mettez nous tout cela en actions, que l’on y voit plus clair. Car là pour moi ce ne sont que de belles images. ALLEZ LE RC LENS.
En écoutant, JO ne leur a pas demandé leur avis ils ont été nommés point barre
Fred tu tends la perche avec la tortue
“Rien ne sert de courir…” ne te dis rien ?
Ceci dit, je comprends ton point de vue même si je pense que ce n’est parce qu’il y a doute qu’il y a stagnation, au contraire.
Un moteur Puretech de Peugeot.