Malheureux et fautif la semaine dernière contre Monaco, Brice Samba a remis sa tunique de gardien international avec plusieurs arrêts.
Après six buts encaissés en deux rencontres, cette fois, Brice Samba n’est jamais allé chercher le ballon dans son but. « Ça fait plaisir ce clean-sheet. D’habitude, on ne prend pas beaucoup de buts et là, par deux fois, face à des gros adversaires, on en prend six en deux matchs. On fait un clean-sheet à Lyon, c’est une belle preuve du travail que l’on réalise », s’est réjouit Brice Samba au micro d’Amazon Prime.
11 rencontres de Ligue 1 sans prendre de but
Puis, il est revenu sur ces deux minutes de folies (78e et 79e) où il enchaîne trois arrêts consécutifs. Tout d’abord devant Fofana, il explique : « Je vois qu’il élimine nos défenseurs et qu’il pousse le ballon un peu loin. Alors, je décide de sortir vite sur lui, je me jette en essayant de prendre le plus de place possible et j’arrive à la sortir. » L’attaquant voit alors sa frappe être détournée en corner. Mais pas le temps de tergiverser. Sur le coup de pied arrêté, le ballon est détourné de la tête par un Lyonnais qui rebondit devant Brice Samba avant de finir sa course sur le visage du gardien. Le ballon repart vers un attaquant qui repousse le ballon et c’est, une nouvelle fois, avec le visage que le capitaine lensois fait un arrêt. « J’ai perdu un oeil sur le coup, je prends deux fois le ballon sur le visage », a-t-il plaisanté.
Avec ce succès 0-3 à Lyon, Brice Samba et sa défense sont sortis de la rencontre avec un 11e match sans prendre de but en 24 journées. « Je mets tout mon corps, je me sacrifie pour l’équipe. Et, j’aime les clean-sheets », a conclu le gardien international dans un large sourire.
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Denoueix sur Lens dans L’équipe “Tu joues pour, tu joues avec. L’idée ce n’est pas d’avoir le ballon, c’est de le donner. Lens en est l’illustration. À Lens, il y a une identité, ça me fout les larmes quand je les entends chanter à la mi-temps. Ils ont fait un mauvais départ, et ils n’ont pas lâché. Je fais le parallèle. À Lens aussi il y a une histoire. C’est quelque chose de très fort. Ça porte un club. Ça et la formation. Ça, c’est capital, la meilleure transmission se fera par la formation ou par l’identité. Comme à Lens ou à la Real Societad, comme il a pu y avoir à Barcelone pendant un moment.”
Beaucoup n’ont pas encore compris qu’on était un club à part avec des supporters à part …. unique dans l’hexagone . Sans doute du fait de nos racines . Allez Lensois . Au charbon ! Faites nous honneur !
Denoueix est un grand entraineur, sous coté en son temps, que j’aurais beaucoup aimé voir chez nous à l’époque à la place des Courbis, Muslin, Muller …. ces paroles venant de lui ont énormément de valeur et sont une belle réponse à ceux qui passent leur temps ici à critiquer notre entraineur et nos dirigeants !
sinon Brice est stratosphérique …