En 1998, Cédric Berthelin découvre le milieu professionnel comme 3e gardien du RC Lens. Même s’il n’a disputé aucune rencontre lors de la quête du titre de Champion de France, le portier était un membre important du vestiaire artésien. Désormais entraîneur des gardiens à Courtrai, Cédric Berthelin nous a accordé une interview lors du vernissage de l’exposition « Champions 1998, au coeur d’une saison historique ».
Lensois.com : Cédric Berthelin, que représente pour vous ce titre de Champion de France acquis en 1998 ?
C’est un moment spécial dans ma carrière. J’étais un jeune professionnel à l’époque. J’étais le 3e gardien. Le fait d’intégrer le groupe pro cette saison-là fut une sacrée chance pour moi de vivre cela de très près. Même si je n’ai pas joué, je me sens concerné par ce titre. C’est vraiment une fierté de montrer ça à mes enfants maintenant. C’est magnifique.
Vous avez également eu la chance de travailler avec Guillaume Warmuz, auteur d’un magnifique championnat cette année-là…
Oui, ce fut un gros plus pour moi de pouvoir rencontrer Guillaume, de travailler avec lui et d’écouter ses conseils. J’ai toujours été à l’écoute. Cela m’a beaucoup servi pour ma carrière future. Je travaillais aussi avec Christophe Marichez qui était un sérieux concurrent. Il était tout le temps à fond. On n’avait pas le droit de lâcher. Il y a eu un très bon mix cette année-là entre les jeunes du club, des joueurs confirmés et les plus anciens. Ce fut une très bonne année.
Quel est votre sentiment après avoir revu vos anciens coéquipiers lors du vernissage de l’exposition ?
On a tous bien changé. Il y a quelques kilos en plus désormais (rires). Cela fait plaisir de se revoir. Je joue de temps en temps avec les anciens du Racing donc je revois régulièrement ceux qui gravitent autour du club.
Désormais, vous êtes entraîneur des gardiens à Courtrai. Comment se passe cette aventure en Belgique ?
Oui, j’entraîne à Courtrai. Tout se passe bien. Nous avons eu l’occasion de disputer un match amical contre Lens cette année (2-1). On va être appelé à collaborer avec le Racing pour des matches futurs.
Propos recueillis par Mickaël Nys
quelle tristesse, on a pour habitude d’entendre que les clubs ambitieux sont ceux qui se projettent vers l’avant, ici , sur lensois.com, on resasse et on resasse les gloires d’antant, c’est ça vous croyez l’avenir du rclens, le plus grand spectacle au nord de paris , enfin cette année dans les journaux, pas sur le stade, sachez cher rapporteurs de lensois.com, que je suis supporter du rclens, “mon club de coeur depuis 1982” et que je suis très attristé de le voir faire du surplace, voir plûtot marche arrière. je ne ressasse pas les superbes soirée européenne, je regarde devant et surtout le mois de mai celui qui pourrais sceller l’avenir de l’ancien temple du football nordiste!
“sans animosités aucunes envers vôtre site”
C’est surtout parce que ce sont les 20 ans du titre cette année. Et comme l’avenir reste flou, c’est une réaction normale. Regarde l’OM avec leur “à jamais les 1e”… Ils le sont, certes, mais leur titre européen a 25 ans…