Première recrue du mercato hivernal du RC Lens, Patrick Berg quitte sa Norvège natale pour la première fois de sa carrière. Il espère bien franchir une étape supplémentaire au sein du club Sang et Or. Ce vendredi, il s’est confié sur son arrivée en France.

Lensois.com : Patrick Berg, vous avez disputé votre premier match sous les couleurs Sang et Or ce mardi face à Lille (2-2, 4 tab 3, 16es de finale de Coupe de France). Quelle fut votre première impression ?
C’était génial de jouer mon premier match à la maison à Bollaert. Il n’y avait que 5 000 supporters mais j’ai senti une grosse ambiance, j’avais l’impression qu’ils étaient beaucoup plus que 5000. L’atmosphère était géniale. J’étais vraiment heureux que l’on retourne la situation lors de ce match et de débuter avec une victoire. C’était un premier match parfait pour moi.

Quels sont les envies et les objectifs en venant à Lens ?
Je me sentais prêt pour passer une étape dans ma carrière. La France est un pays qui me plait. J’ai discuté avec Franck Haise et Florian Ghisolfi lors de ce transfert et ils m’ont donné un bon feeling. C’était un choix parfait pour moi. J’espère d’avoir de beaux succès avec Lens, développer le club. Il y a de bons et jeunes joueurs dans cet effectif donc j’espère contribuer à la bonne marche du club.

« il y a eu quelques clubs intéressés »

Avez-vous été sollicité par beaucoup de clubs lors de ces derniers mois ?
Oui, il y a eu quelques clubs intéressés. J’ai réalisé de bonnes saisons avec mon club. Dès que j’ai entendu parler de l’intérêt de Lens, c’était la seule et la meilleure option pour moi.

Aviez-vous déjà entendu parler du RC Lens, de la région ?
J’avais déjà entendu parler du club avant de venir ici C’est un grand club avec une grande histoire, une grande tradition. Je suis fier de participer à l’histoire de ce club. C’est ma première venue en France. Je souhaite découvrir rapidement le pays. Lens est une petite ville mais je connais ce genre de ville dans mon pays, donc c’est une ville parfaite pour moi.

Propos recueillis par Mickaël Nys