Après l’annonce de la montée en Ligue 1, l’actualité mercato s’est rapidement accélérée autour du RC Lens. Le nom de l’arrière droit Sébastien Corchia a notamment fortement circulé dans les médias, comme nous l’avons relayé.
Son agent Mikkel Beck assure pour L’Equipe qu’il n’a pas été contacté à ce jour par le Racing. Il complète : « Mais ce n’est pas impossible, il pourrait revenir en France » Sébastien Corchia est pour rappel actuellement prêté à l’Espanyol Barcelone par le FC Séville où il lui reste un an de contrat. Son agent assure au passage de sa bonne forme après une arthroscopie du genou droit en décembre. Toujours au poste d’arrière droit, un intérêt pour Jonathan Clauss, qui évolue en 2e division allemande à Bielefeld où il a signé 2 buts et 7 passes décisives, est avancé par le journaliste indépendant Manu Lonjon. En février dernier, son agent évoquait pour le média allemand Kicker des intérêts en provenance de Ligue 1, de Bundesliga, d’Espagne et d’Angleterre pour ce joueur de 27 ans capable d’évoluer sur tout le franc droit formé à Strasbourg et passé par Quevilly-Rouen, libre en juin. Par ailleurs, du côté de Téléfoot, l’émission absente actuellement de l’antenne de TF1 mais active sur les réseaux sociaux, son journaliste mercato Julien Maynard évoque un intérêt pour Jonathan Panzo, que Monaco souhaiterait néanmoins garder. Ce défenseur central de 20 ans était prêté cette saison au Cercle de Bruges.
Si ça bouge pas c’est que le club privilégie avant tout la signature d’un coach avec qui définir les bons profils. Une fois le coach nommé (ou confirmé) cela ira plus vite.
Beaucoup trop de rumeurs apportées par des journalistes indépendants qui sont tout sauf des personnes fiables dans le milieu….faire du buzz pour pas grand chose….
le coach c est haise si on écoute toutes les rumeurs on va pouvoir faire 3équipes ,tant qu il n y a rien de signer ,on se tait
Les journalistes sont tous les mêmes, des infos non vérifiées, des scoops à deux balles du buzz et après on passe au sujet suivant. Ces gens là frisent parfois l inutilité