Le RC Lens va jouer devant au moins 33 500 personnes samedi pour la réception de Reims (12e journée de Ligue 2, 15h, à suivre en direct sur Lensois.com et diffusé en intégralité sur BeIN Sports 1). Même si on a l’habitude des belles affluences à Bollaert, cela reste impressionnant quand on sait que l’équipe n’est que 18e de Ligue 2.
Eric Sikora, l’entraîneur lensois, espère bien voir ses joueurs tirer avantage de ce soutien hors normes. Il commente :
« J’estime que Bollaert est un plus. Quand on joue devant 32 000 spectateurs, qui poussent, ça doit galvaniser les joueurs. On a un public qui suit, qui encourage l’équipe. Je suis heureux, ravi que Bollaert soit plein. C’est pareil pour les joueurs. Si on a peur de jouer à Bollaert devant 32 000 personnes, il ne faut pas signer à Lens. Il faut aller dans un petit club et se dire qu’on va jouer devant 5 ou 6 000 personnes sans avoir la pression du public. Nous avons la chance de pouvoir évoluer devant au moins 20 000 supporters même sans avoir les résultats. Nous devons être heureux de jouer à Lens dans un stade comme Bollaert. A nous de faire en sorte que ce public nous accompagne et nous pousse. On dit que c’est le 12e homme, à nous de mettre ce 12e homme avec nous. »
Propos recueillis par Christophe Schaad
Bien dit ça !
ben oi mais j ai l impression qu ils vont etre empreinté .j en ai peur
allez ca va etre dur mais faut y croire, tout est possible au foot
Si tu y crois pas Alors joué pas joueurs car nous Supporters Lensois et Lensoise on y croit dur comme fer… Alors Sac Ed Din et ça passera……
c’est cela qui se passe a lens ces joueurs ont la trouille et on perd des matchs a cause de cela
Que l’on soit 15 000 ou 35 000 ne change pas grand chose au problème. Le problème de Bollaërt, c’est que c’est devenu une chorale géante et plus un stade de foot. Les chants sont en totale déconnexion avec ce qu’il se passe sur le terrain. Dans le temps, quand un latéral remontait un ballon devant la Marek, il était galvanisé car poussé par toute la tribune qui l’encourageait. “Allez ! Allez ! Vas-y !”. On sentait la “rumeur” monter dans le stade à chaque début d’occasion, qui s’intensifiait au plus l’occasion devenait franche. Et là, soit ça finissait en corner ou en 6 mètres et on lançait un gros chant, soit il y avait but. Aujourd’hui, OK on chante bien et fort, on fait de belles chorégraphies… mais on peut chanter sur un ton monocorde “le racing club de lens gagnera si nous avons la foi” pendant 20 minutes d’affilée et ne pas réagir du tout à ce qu’il se passe sur le terrain. Le public ne “vit” plus le match et ça, je pense que ça fait la différence. Il y a une ambiance permanente mais qui est finalement assez artificielle, et cela profite plus à nos adversaires qu’à nous. Qu’ils aient le ballon ou qu’on ait le ballon : l’ambiance est la même. Alors que par le passé, dans les phases de possession adverses, on savait leur mettre une pression phénoménale, et ensuite galvaniser le lensois qui récupérait et remontait le ballon. Aujourd’hui à Bollaert, on semble avoir plus la volonté de faire le “spectacle” en tribune que de réellement peser sur les rencontres.
Intéressant ton analyse , mais avec des kapos qui ne regardent pas le match c’est bel et bien révolu ce que tu nous expliques !
il y a belle lurette que Lens n’ attire plus les joueurs! à l’ époque, oui mais maintenant c’ est fini hormis pour une certaine catégorie de joueurs.
Ce qui attire les joueurs c’est le pognon et il faut bien que les agents se payent , Lens n’en pas de pognon donc fatalement ….