Il y a 50 ans, le 14 juin 1975, le RC Lens disputait, et perdait, l’un des matches les plus célèbres de son histoire : la finale de la Coupe de France face à Saint-Etienne et la grande équipe des Verts, au Parc des Princes.
De retour depuis 2 ans en Première Division, le RC Lens mené par l’entraîneur emblématique Arnold Sowinski se qualifie pour la finale de la Coupe de France lors de la saison 1974-1975. Au Parc des Princes le 14 juin 1975, les Sang et Or se préparent à affronter Saint-Etienne, déjà auréolé du titre de champion de France, et ses stars Jean-Michel Larqué, Ivan Curcovic, Dominique Bathenay ou encore les frères Revelli. Malheureusement, les Artésiens, bien que très valeureux, s’inclineront face aux Verts suite aux buts d’Oswaldo Piazza (68’) et Jean-Michel Larqué (79’), auteur d’une magnifique reprise de volée devant 44 725 spectateurs. La photo de Jean-Michel Larqué et du Lensois Jacques Marie portant ensemble la Coupe devant le président Valérie Giscard d’Estaing fait partie des images les plus célèbres de l’histoire Sang et Or. A ce jour, la Coupe de France reste le seul titre national manquant au palmarès du Racing, qui a perdu au total trois finales.
Les compositions :
RC Lens : Lannoy – Hopquin, Notheaux, Jacques Marie (cap.), Grzegorczyk – Elie, Leclercq, Faber, Kaiser, Bousdira, Zuraszek.
Entraîneur : A. Sowinski.
Saint-Etienne : Ćurković – Farison, Janvion, Piazza, Lopez – D. Bathenay, P. Revelli, Larqué (cap) – H. Revelli, Synaeghel (Santini, 77′), Sarramagna.
Entraîneur : R. Herbin.
le temps a bien changé, on dirait un match du variété club aujpurd’hui, aucun pressing! j’espère qu’un jour , le racing la gagnera!
Dommage, on ne voit pas l’occasion de Casimir Zuraszek, dit Kajou, qui aurait pu changer le face de ce match…
Oui et comme disait Thierry Roland, maintenant on peut mourir tranquille, enfin c’est une épreuve qui nous a jamais porter chance aller Lens
C’était mon premier match du Racing que j’ai vu a la tele. Comme nous n’avions qu’une chaine a la maison je suis allé le voir chez des voisins, ils avaient les 3 chaines. Retransmis sur la 2, je crois, mais il me semble toujours en noir et blanc a l’époque. Depuis ce temps, toujours supporter, malgré 33 ans passé aux Etats-Unis.
Un mauvais souvenir de plus, incapables d’être présents le jour J.
Zuraszek alias Cajou qui loupe le but à 1 mètre. Plus difficile à mettre à côté que dans la cage. Ça me rappelle un de nos joueurs que je ne citerai pas, son nom commence par Soto et se termine par ca. L’éternel problème lensois, la finition. Le problème est que dès qu’un joueur n’à pas les pieds carrés et qui score, les dirigeants s’empressent de le vendre, comme un certain joueur qui je ne citerai pas non plus mais dont le nom commence par Open et qui finit par da. Et la saison suivante ils rachètent pour une blinde un joueur qui met des buts chaque semaine surtout quant il y a 4 jeudis.
Et dire que 15 jours avant en championat lens gagne 3a1 de souvenir contre cette même équipe. ..
Le but superbe de larque avait lancé leur finale aux verts..
Wattrelot, décidement même 50 ans après vous avez du fiel a revendre. Soignez votre amertume et vos maux de tête, vous vous sentirez mieux. ALLEZ LE RC LENS.
j’y étais j’avais 14 ans à l’époque, mais quel match avec une magnifique équipe des verts à l’époque et une superbe équipe lensoise et un Grand très grand LECLERCQ. Et surtout le respect entre les joueurs stéphanois et lensois et les supporters des deux équipes ce qui a toujours été Oui avant LENS LAZZIO de 1977 c’était le plus beau match que j’avais vu des lensois
Et merci Christophe SCHAAD pour ce fantastique souvenir de 40 ans en arrière
J’y étais aussi, quel match en effet! Et la demi à Reims contre Paris ! Une ambiance de dingue, sans kapo!
Demi finale à Reims avec un but sur coup franc de Eugenius Faber joué très rapidement, que du bonheur, premier match vécu en bus avec une folle ambiance.