A l’occasion de cette longue trêve imposée par la suspension du championnat, Lensois.com vous propose de partager votre souvenir le plus fort d’un match à Bollaert. Vous pouvez nous l’envoyer à l’adresse [email protected] avec prénom, nom (préciser si vous souhaitez qu’il n’apparaisse pas), âge et commune.
Ce jeudi, c’est Daniel, 38 ans d’Amiens, qui partage avec nous un souvenir lié à l’un des joueurs marquants de l’histoire du RC Lens, Roger Boli :
« Petit, j’étais fan de Roger Boli, notre dernier joueur meilleur buteur de première division, avec 20 buts en 1994. J’étais au stade en 1997 lorsqu’il est revenu à Bollaert pour la première fois en tant qu’adversaire, avec Le Havre. Ce jour là, alors qu’on lutte pour ne pas descendre, on perd 1-0 et c’est Roger qu’il marque. L’histoire est connue, il était acclamé par le stade et je fais partie des gens qui ne se sont pas privés pour scander son nom. Il était venu fêter son but devant la Marek et on le sentait ému, comme partagé. C’était un sentiment très bizarre. A l’époque, on ne voyait pas non plus des anciens lensois dans toutes les équipes adversaires, surtout des joueurs iconiques comme ça, car ils restaient vraiment longtemps dans les équipes. A l’époque où il était lensois, je ne l’aurais jamais imaginé marquer un but à Bollaert pour une autre équipe. Mais c’est le jeu, le club ne comptait après tout plus autant sur lui au milieu des années 1990 et il s’est comporté en grand professionnel. Dans la foulée, Slavo Muslin avait été limogé pour la venue de Roger Lemerre qui nous maintiendra avec une 13e place. »
Belle anecdote, décrite avec passion. Merci Daniel
En esperant que son fils fasse une grosse carriere a Lens
Mais arrêtez avec vos espoirs de voir rester faire leur carrière à Lens ……le footballeur du 21 eme siècle ? C est quoi ? Un gaillard se prenant pour plus haut que son cul ……brassant au passage du fric …….n hésitant pas de monter les enchères pour son revenu ……..le fric quoi ……tout simplement …….
Parce que tu crois que Bourigeaud serait parti a Rennes si nous etions en L1. Pas mal de nos jeunes seraient restés si on etait encore en L1.