Ce dimanche, le RC Lens affronte Wasquehal pour le compte du 8e tour de Coupe de France (13h45, à suivre en direct sur Lensois.com et diffusé en intégralité sur France 3). Alain Casanova s’est présenté devant la presse avant cette rencontre. Entretien.

Lensois.com : Alain Casanova, vous retrouvez la Coupe de France ce dimanche. Quel est votre état d’esprit ?
On essaye de mettre tout en œuvre pour préparer cette compétition du mieux possible. C’est un adversaire que l’on connaît bien car Wasquehal fait partie du même groupe de CFA que l’équipe réserve. On ne les connaît pas aussi bien qu’un adversaire de Ligue 2 mais nous avons des observations pour bien préparer cette rencontre. Nous avons tout mis en œuvre pour avoir le maximum d’information sur leur manière de jouer. Cela nous aide à informer les joueurs.

Votre travail de préparation signale un respect de l’adversaire. Cela compte pour vous ?
Oui, mais pas seulement. C’est un respect pour les joueurs, pour la compétition, pour l’adversaire, pour l’entité RC Lens, pour notre profession. Il n’est pas question de sous-estimer cette adversaire. Nous allons affronter une équipe ayant déjà connu des parcours intéressants dans cette compétition. Elle va venir à Bollaert en estimant qu’elle a toutes ses chances. Nous connaissons la difficulté de la tâche.

Peut-on s’attendre à une possible rotation dans l’effectif ce dimanche ?
Il peut en avoir. On attendra le dernier moment pour voir l’état de chacun et le niveau de récupération. On recherche aussi une certaine complémentarité entre les joueurs pour mettre en place notre jeu. Ce sera toujours dans le respect de cette compétition. Mon objectif est d’aligner la meilleure équipe possible c’est à dire avoir des joueurs qui auront récupérés et qui seront frais. Je me laisse jusqu’à dimanche pour établir l’équipe. Changer 10 joueurs ? Cela ne me ressemble pas du tout. Nous avons un effectif qui n’est pas aussi large que l’on peut imaginer. Il y aussi une base à conserver. Nous jouons les compétitions pour aller le plus loin possible.

Propos recueillis par Mickaël Nys