Arrivé en octobre au Stade Rennais, Arnaud Pouille, ancien directeur général du Racing Club de Lens, a vécu un premier exercice compliqué en Bretagne. D’ailleurs, au soir de la 19e journée, le club breton occupait la place de barragiste, soit 16e de Ligue 1.
Interviewé par nos confrères de L’Équipe, Arnaud Pouille est revenu sur cette saison particulière où le SRFC a employé trois entraîneurs principaux. Julien Stéphan a commencé l’exercice, Jorge Sampaoli lui a succédé de début novembre à fin janvier, et, enfin, Habib Beye a terminé la saison.
Outre par ses contre-performances, Rennes a régulièrement été évoqué avec le RC Lens cette saison. Tout d’abord, parce qu’un contingent d’anciens Lensois est venu renforcer les rangs du Stade Rennais. Brice Samba, en janvier, a directement quitté le Pas-de-Calais pour la Bretagne. Les anciens Sang et Or Seko Fofana et Ayanda Sishuba l’ont imité. Ensuite, du côté de La Gaillette Gervais-Martel, on a souvent évoqué des problèmes financiers, en partie liés à une mauvaise gestion l’année dernière sous le mandat… d’Arnaud Pouille.
Des signatures pour l’avenir
Ainsi, dans le quotidien sportif, ce dernier a justifié la venue de Fofana et de Samba : « Ils arrivent parce que, dans l’espèce d’enlisement dans lequel était le club, ils étaient les deux seuls noms sur lesquels Sampaoli et Frédéric Massara étaient complètement d’accord. Et moi, j’étais dans la position de dire : s’il faut aider, j’aiderai. Ce ne sont pas les hommes du président qui débarquent. Et on agit avec l’accord de la propriété. Après, on entend dire : “Ils ont dépensé comme des malades en janvier”. C’est peut-être lié à mon passé et à tout ce qui se raconte sur moi, qui est complètement bidon, j’y reviendrai un jour. Mais prenez le mercato de janvier 2024 et celui de janvier 2025. Faites les plus et les moins et voyez si le dernier était une abomination au niveau investissement. On a anticipé pour la saison à venir. Et sur son apport, Brice (Ndlr : Brice Samba) a ramené plus de points qu’il n’en a coûtés. Seko (Ndlr : Seko Fofana), c’est un autre sujet, lié notamment à la réathlétisation de joueurs de retour du Golfe, comme Jota (arrivé fin août d’Al-Ittihad, parti en janvier au Celtic Glasgow). Il n’est pas logique qu’on mette autant de temps à réathlétiser un joueur », explique-t-il.
Lens-Rennes-Pouille, des sujets qui ne sont pas encore prêts à se séparer…
Ben oui quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage ..un jour peut être on saura la vérité sur ce qu’il s’est vraiment passé.
Si il a besoin de ramer autant c’est qu’il est déjà bien en galère Fripouille (son surnom en interne à Rennes… et oui). Romain Molina a fait une vidéo sur Rennes il y a quelques semaines. Je vous invite à le regarder. C’est croustillant.
On connaît déjà la suite Bonaparte, il dira ” c’est la faute à JO…et blablabla” au final ça restera comme la politique, chacun votera pour son parti….d’ici là, il se sera peut-être fait virer par Pinault 😁😁
Les chiens aboient, la caravane passe.
Il se concentre sur son taff et a bien raison.
“La faute à J.O, la faute à Pouille”, pourquoi faut-il un coupable ?
Ces deux là, avec Ghisolfi et Haise, sont les artisans d’une aventure sportive formidable mais vertigineuse sur un plan financier. A ce point qu’ils sont ensuite tombés en désaccord sur la suite à donner.
Là où le bas blesse, c’est dans les arguments (un peu malhonnêtes) utilisés par J.O pour justifier sa volonté d’un recadrage budgétaire plus conforme au RCL et à sa propre surface financière.
En tout cas toujours surpris que JO est jamais au courant de rien et découvre en general dans les grosses dépenses, le président valide ?.
La délégation n’empêche pas le contrôle et des points réguliers en Réunion.