Le RC Lens se porte moins bien depuis quelques semaines. Une dynamique qui concorde en partie avec celle d’un John Bostock moins influent au milieu.

Pour le président du RC Lens Gervais Martel, il n’est toutefois pas question de penser que tous les soucis de son équipe proviennent de la baisse de régime de l’ancien joueur de Tottenham. Il commente :

« Quand on gagne, ce n’est jamais un joueur qui fait le printemps. Quand on perd, c’est aussi facile de tirer sur l’ambulance en disant que John Bostock a un coup de mou. A Amiens (2-1, 22e journée de Ligue 2), sur la fin de match, toute l’équipe a eu un coup de mou. Le groupe a prouvé, que ce soit John Bostock ou d’autres, qu’il a des qualités et qu’il peut faire face. »

Propos recueillis par Christophe Schaad