Installée au poste de présidente de la LFP, Nathalie Boy de La Tour ne compte pas s’en tenir au rôle honorifique que l’on prêtait désormais à ce rôle après le départ de Frédéric Thiriez et l’arrivée d’un directeur général exécutif, Didier Quillot. Elle compte bien contribuer au renouveau du football français.

Cela passera pour elle par une valorisation du championnat d’élite, que le RC Lens espère bien rejoindre dès la saison prochaine. Son chantier prioritaire est ainsi l’augmentation des revenus à l’international :

« En France, on a 15 ans de retard par rapport à nos concurrents européens. Il faut optimiser ces droits internationaux, et notamment sur la Chine. On a 75 millions d’euros par an… A partir de 2020. C’est bientôt. Mais il faut vraiment exploiter ce vent nouveau, avec notamment un magnifique suspense en L1, l’arrivée de nouveaux joueurs ; notre championnat est en train de prendre une vraie dimension. »

(Source : L’Equipe)