Filip Markovic est la dernière recrue en date au RC Lens. Le milieu serbe arrive avec de grosses ambitions pour le club lensois. Entretien.

Lensois.com : Filip Markovic, comment êtes-vous entrer en contact avec le RC Lens ?
Cela fait 2 mois que je suis en contact avec le RC Lens. J’ai du attendre afin de trouver un arrangement avec mon club de Mouscron car je voulais partir et découvrir autre chose, passer un cap. Je suis venu à Lens car il s’agit d’un grand club qui mérite d’être en Ligue 1. Ici tout le monde à le même objectif de monter, c’est pour cela que j’ai choisi Lens.

Connaissiez-vous le club avec de signer au Racing ?
Oui, évidemment. J’ai vu quelques matches sur internet. J’avais la confirmation que le club me voulait donc j’ai suivi cela attentivement. J’ai pu voir que jouer à Bollaert doit être incroyable. Les supporters sont formidables. L’atmosphère semble fantastique. Je n’ai jamais connu ça avant dans ma carrière. Mon objectif est de faire monter ce club. Le club ne mérite pas sa situation actuelle.

Que pensez-vous de la situation actuelle du RCL ?
Le début fut difficile mais je ne suis pas inquiet, je n’ai pas peur. Je pense qu’il faut juste commencer à prendre 3 points et cela ira mieux. Ce n’est pas une bonne situation à l’heure actuelle mais nous ne sommes qu’en début de championnat. Cela va s’améliorer.

Quel genre de joueur êtes-vous ?
Je suis un joueur offensif assez rapide. J’aime marquer des buts et apporter des solutions offensives. Je peux jouer à droite mais également dépanner à gauche. Je joue parfois aussi en numéro 10 mais je préfère le côté droit vu que je suis droitier. Je suis meilleur dans cette position.

Au Racing, il y a de nombreuses nationalités. Est-ce un problème pour s’intégrer ?
Ce n’est pas un problème. J’aime ce mélange de nationalités et entendre différentes langues. C’est intéressant de voir plusieurs personnes parler différentes langues. Je comprends le français mais j’ai du mal à le parler. Je vais apprendre au plus vite. J’ai passé 2 ans à Mouscron, mais c’était compliqué car ça parle un français belge ou le flamand. C’était difficile à comprendre.

Propos recueillis par Mickaël Nys