Ancien milieu du RC Lens, John Bostock aurait dû faire partie de l’équipe d’Angleterre qui a atteint les demi-finales de la Coupe du monde 2018 s’il avait suivi la trajectoire qu’on lui prédisait à ses débuts à l’âge de 15 ans avec Crystal Palace. Mais après un transfert prématuré à Tottenham puis prêt après prêt, il a eu du mal à confirmer les espoirs placés en lui.

Désormais à Toulouse, le gaucher n’a pas mis de côté ses rêves de sélection anglaise, lui qui a beaucoup fréquenté les équipes de jeunes du pays. S’il a été autorisé à jouer avec le Trinité-et-Tobago, dont son père est originaire, en 2016, il n’a pas répondu aux convocations depuis :

« Je suis très heureux pour eux. Avant le tournoi, j’avais dit que c’était la première année où il n’y avait pas beaucoup d’attente et qu’ils allaient faire de belles choses. Les jeunes joueurs jouent plus libérés et prennent du plaisir à évoluer en sélection. Je n’étais pas jaloux, non, ça m’a motivé encore plus pour être appelé un jour. Je dois croire en mes possibilités. Si tes rêves ne sont pas grands, ce ne sont pas des rêves. Je n’ai pas peur d’échouer, ça m’est déjà arrivé plein de fois dans ma carrière. Je préfère rêver et échouer plutôt que de ne pas rêver du tout. »

(Source : L’Equipe)

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