Orléans a réalisé une grosse performance pour l’emporter 1-0 sur le terrain du RC Lens vendredi en se retrouvant à 10 contre 11 dès la 40’ après l’expulsion de Karim Ziani. On les croyait bien mal engagés à la pause.
Mais les joueurs de Didier Ollé-Nicolle ont su au contraire prendre l’avantage et l’emporter. Le technicien a insisté auprès de ses joueurs sur la nécessité de partir sans regret :
« Nous ne voulions pas venir ici en ayant vécu l’évènement avant, par rapport à Bollaert. Beaucoup d’équipes sont parties d’ici avec des regrets. L’idée était de travailler sur le terrain. On sait que le RC Lens, a des moyens exceptionnels matériellement par rapport à nous, ce qui ne nous a pas empêchés de les battre 2 fois chez nous depuis que je suis là. A Bollaert, leur point fort est le contre et ce que nous avons fait à 11 nous avons décidé de le faire à 10 en essayant de les emmerder. Nous étions dans l’idée de faire un exploit, il fallait juste élever le curseur au niveau de l’effort. On savait qu’il allait y avoir 4 ou 5 coups pour marquer. Je leur ai demandé d’être plus individualistes que d’habitude. »
Propos recueillis par Christophe Schaad
Hey tu parles de quoi Didier aujourd’hui ce n’est plus compliqué de s’imposer à Bollaert……
c’est clair, les seules equipes qui partent avec du regret à lens c’est celles qui ont pas pris 3 points.. Bollaert et son public transcendent les joueurs, mais les joueurs adverses, les notres preferent faire pipi dans leur froc
C’est quand même grave d’attendre de marquer sur un contre en jouant à domicile alors uel’on doit faire le jeu
j ai bien peur pour mardi soir d un nouveau faut pas.le match nul serait un faut pas.mais , le public va secouer les joueurs je pense avant et pendant le match si le jeu est de nouveau très médiocre. repartons sur une belle victoire, croisons les doigts…
beaucoup d equipes sont reparties de lens avec des regrets moi je dirais plutot avec plaisir qu ils sont reparties tous viennent gagner a lens le club med avant c etait un stade imbattable ou tous graignait bollaert