L’UNFP, le syndicat national des joueurs de football professionnel en France, tenait une assemblée ce week-end. L’occasion pour elle de décréter ce qu’elle estime être un « état d’urgence ».
Président de l’UNFP, Philippe Piat a notamment déploré les chiffres qui concernent la pratique de la mise à l’écart de joueurs dans les clubs. Il a commente :
« Alors qu’une ou 2 dizaines de cas étaient portés à notre connaissance, par le passé, ce sont 147 joueurs qui ont été mis à l’écart, impactant 16 clubs de Ligue 1 et 8 de Ligue 2. Nous savons que, par peur des représailles, 7 joueurs seulement ont saisi la Commission juridique de la LFP, qui, chaque fois, a réclamé leur réintégration… Mais ne va pas plus loin, en obligeant les clubs à respecter ses décisions. Nous parlions d’état d’alerte, ici même l’an passé. Mais, et nous en sommes les premiers à le regretter, l’alerte s’est transformée en urgence avec une LFP dépassée, avec des syndicats de clubs, qui ne parlent pas d’une même voix, avec désormais aussi des collèges formés à l’intérieur desdits syndicats et qui, eux aussi, ont leur propre vision, ou plutôt défendent leurs propres intérêts… »
le clientelisme est un virus qui progresse dans le mauvais sens ..l’argent appel l’argent tu ne peux pas t’imposer sur un systeme bien soud? ! impossible de d?soud? cet impact qui date depuis des decennies gauche et droite concern? politique spirt interets = clientelisme ..il est partout ce virus dans l’emploi , le logement – appel d’offre – partout dabs tout les sens et dans le sport les places sont vraiment cheres du au gros salaire !!.
on d?gage un joueur pour en prendre un autre ainsi de suite le joueur est juste un numero est soumis de son club !l! des lors que tu signe ton contrat tes en mode soumissions ! le club fait ce qu’il veut du joueur ! esclavagisme et harcelement !