Titulaires réguliers depuis le début de la saison, Jonathan Gradit et Tony Mauricio ont été blessés ces dernières semaines. Ils ont fait leur retour dans le groupe pour la venue de Sochaux (4-0, 15e journée de Ligue 2) puis le déplacement à Valenciennes (2-0, 16e journée de Ligue 2).

Mais à chaque fois, ils ont débuté sur le banc. L’entraîneur Philippe Montanier a voulu jouer la carte de la continuité. Il commente : « Il y avait une certaine continuité. Ils étaient bien mais je savais aussi qu’ils pouvaient être utiles sur le banc en entrant car c’est souvent ça chez nous qui fait la différence. C’est vrai qu’on était dans une certaine continuité. Cela semblait plutôt logique de rester dessus, même avec les retours de Tony et de Jonathan qui se tenaient prêts. On sait qu’avoir des joueurs comme ça sur le banc, ça amène un plus pendant les matches. » Les 2 joueurs ont fait de bonnes entrées, notamment au stade du Hainaut dans un contexte difficile d’infériorité numérique. « A Valenciennes, il faut féliciter l’équipe parce qu’à 11 contre 11, on avait le contrôle du jeu, à 10 contre 11, on n’a pas vu la différence et à 9 contre 11 les joueurs se sont montrés très courageux à l’image de Jonathan et Tony ainsi que de l’ensemble de l’équipe », lance-t-il.

Propos recueillis par Christophe Schaad