Celui-ci, il est bien validé par la VAR ! Rémy Labeau-Lascary attendait son premier but à Bollaert-Delelis depuis le début de l’exercice. C’est désormais chose faite. L’attaquant lensois est parvenu à faire sauter le verrou, et grâce à ça, le Racing a fait la course en tête avant de pousser Lecomte à la faute en fin de partie. Victoire 2-0, deuxième succès de suite et nouveau clean sheet pour les Artésiens qui devaient gagner pour ne pas se laisser distancer par le top 5.

« On savait que Montpellier allait venir avec un style de jeu bloc-bas, donc il fallait être patient et montrer l’ouverture, marquer, rembobine le buteur lensois du jour. Et en deuxième, on a eu de la réussite sur le deuxième but, donc au final, on a la victoire aujourd’hui et c’est le plus important. Ça fait beaucoup de bien, on arrive à enchaîner. On a gagné à Reims, aujourd’hui on gagne contre Montpellier. Le coach avait dit que ça allait être un match vraiment compliqué avec les conditions, la pluie, le froid. Et on était confiants, on savait ce qu’on faisait. On avait confiance en nous et c’est un match maîtrisé à la fin. En plus, avec la fête des supporters à la Sainte-Barbe, donc elle est vraiment magnifique cette victoire. »

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Un deuxième but au compteur

Et pour le jeune joueur de 21 ans, c’est un deuxième but qui vient s’ajouter aux statistiques de la saison en cours. Déjà buteur à Saint-Étienne, Labeau Lascary compte surtout plus de buts marqués et refusés que de buts marqués et validés. « Je n’ai pas douté, reprend-t-il. Nzo’ me la décale bien et je finis bien. C’est un bon moment pour l’équipe. Je n’ai vraiment pas douté de moi parce que je suis un travailleur et je suis croyant. Je savais que la grâce de Dieu, ça allait tourner. Aujourd’hui, je ne pense pas que j’ai changé de statut. Je vais à l’entraînement, je m’entraîne, je vais au match et je fais ce que je fais à l’entraînement. Il faut faire encore plus pour changer de statut parce qu’il y a de grands noms dans le vestiaire. Je vais continuer à faire ce que je fais au quotidien et ça va tourner comme ça. »